Les sportif·ve·s et tou·te·s ceux·elles qui les accompagnent savent ceci : la récupération fait partie intégrante de l’entrainement. Plus même : la récupération se planifie et s’anticipe car c’est bien plus que quelques étirements en fin de séance. Il s’agit d’accorder du temps, de l’attention et du soin aux parties du corps qui pourraient souffrir durant l’entrainement. Ça se fait après l’effort, ou sur des séances dédiées, mais aussi pendant la session. Cette attention peut même se retrouver dans le quotidien des sportif·ve·s, par exemple dans leur alimentation ou la préparation mentale.
Travailler est source de fatigue, et dans les professions de la santé et du soin, ça représente même parfois une charge physique conséquente. Pourtant, peu de professionnel·le·s accordent à leur récupération le même genre d’attention que les sportif·ve·s.
Récemment, j’ai abordé avec vous un thème qui me tient à cœur : l’épuisement, en particulier celui des professionnel·le·s de santé. Pour cette nouvelle série d’articles, je vais continuer sur ma lancée et parler de la récupération. J’ai prévu de l’aborder de 4 manières différentes, en 4 articles à paraître dans les prochains jours. Aujourd’hui, j’ai bien sûr choisi une approche qui sort des sentiers battus.
Comprendre qu’on a besoin de récupérer, c’est un premier pas. N’empêche que cette prise de conscience ne dit pas comment faire, ni par quel bout s’y prendre !
Ma proposition peut paraître simpliste, mais je sais que ce n’est pas si facile : avec le guidage audio que je vous ai préparé, je vous invite à vous arrêter et à faire un état des lieux, un balayage de comment vous êtes, aujourd’hui et maintenant.
Pour tester, écoutez l’enregistrement et laissez-vous guider.
À présent, peut-être aurez-vous envie d’offrir une attention particulière aux zones où la couleur s’est concentré, ainsi qu’à celles où elle était très diluée.
Et vous, comment était votre couleur et que vous a-t-elle appris ?
Pingback:Savez-vous planter ? 1/4 - Agnès Mazière