La parentalité offre de très nombreuses occasions de vivre des conflits. Il y a ceux dont on est témoin ou arbitre. Il y a ceux dans lesquels on est directement impliqué·e. Alors il y a des moments où on a épuisé toutes les idées qui fonctionnent habituellement et où on peine à trouver un second souffle sans quitter le cadre qu’on s’est fixé. Et ça coince, c’est inévitable, pourtant on ne peut pas juste arrêter d’être parent.
C’est sur cette problématique que je vais axer cette nouvelle série d’article. En effet, se simplifier la vie au quotidien, ça aide beaucoup, mais ça ne suffit pas toujours. J’ai prévu comme d’habitude 4 articles, qui apportent chacun un éclairage différent sur ce sujet, et qui paraîtront dans les prochains jours. Dans celui-ci, j’ai bien sûr choisi une approche qui sort des sentiers battus.
Les êtres vivants ont tous des besoins physiologiques, tels que dormir, manger, respirer, mais aussi apprendre, créer, contribuer, communiquer. Chacun d’eux assure la sécurité ou offre de la liberté et contribue ainsi à l’équilibre général de chaque individu. En tant qu’adulte, on peut gérer une grande partie des ses besoins, sachant que les humains ont tous besoin de vivre au contact de groupes. Les enfants sont dépendants des adultes, dans une certaine mesure.
Je crois qu’une grande partie des conflits vient de besoins qui ne sont pas pris en compte, chez soi ou chez l’autre. La première étape que je vous propose aujourd’hui, dans la vidéo qui suit, consiste à aller observer où vous en êtes par rapport à vos besoins propres.
Peut-être aurez-vous envie de partager ce que vous avez découvert pendant cette vidéo et quel type de besoin s’est manifesté ?