Aider, c’est dur pour tout le monde, ça fait se remettre en question, douter, bref « ça secoue ». Or, on peut être aidant·e·s sur un temps restreint ou très long, mais cette durée est rarement, voir jamais, connue à l’avance. De plus, on ne sait pas non plus par quelles épreuves on devra passer. Du coup cette situation ressemble parfois à un marathon émotionnel, peut-être même un ironman. Aussi, en tant qu’aidant·e·s, Il y a un risque réel de s’épuiser.
Garder un œil sur vous-même, sur comment vous vous sentez, c’est fondamental.