Chacun·e d’entre nous a une quantité définie, même si elle est conséquente, de tâches à penser, organiser, planifier, bref à gérer. Elles se trouvent au niveau professionnel, social et personnel. Être aidant·e vient se surajouter à tout le reste. Ce supplément de charge mentale peut amener à un épuisement physique aussi bien que mental. C’est pour cela que je vais consacrer toute cette série d’article à la charge, en particulier mentale, que c’est d’être aidant·e.

J’ai prévu comme d’habitude 4 articles, qui apportent chacun un éclairage différent sur ce sujet, et qui paraîtront dans les prochains jours. Dans celui-ci, j’ai bien sûr choisi une approche qui sort des sentiers battus.

Je reviens tout d’abord sur cette formulation de charge mentale, c’est quelque chose qui n’est pas toujours bien compris. Je trouve que la blogueuse Emma expose très clairement cette notion dans « Fallait demander » publié dans un autre regard 2,  chez Massot Edition. Elle y aborde beaucoup d’éléments important, en particulier le fait que la planification, et donc la charge mentale, est déjà un travail en lui-même. Ce travail est doublé quand on est aussi exécutant, comme ça peut être le cas quand on est aidant·e.

On peut devenir aidant·e de toutes sortes de façons, par choix, par devoir, par hasard, par tradition, un peu de tout ça ou complètement autre chose. Mais quelle que soit le chemin qui nous y a mené, c’est une charge qu’on devra apprendre à gérer. Alors je vous ai préparé une vidéo pour vous inviter à déposer, même pour quelques instant seulement, cette charge, votre charge.

Peut-être aurez-vous envie de partager en commentaire ce que vous avez ressenti au cours de cette vidéo ?

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