Je recommande aussi de lister, surtout les mauvais jours, tout ce que l’on s’est interdit de faire ou dire et qui aurait été blessant ou plus. On peut être fier de chaque parole méchante qu’on a pensé sans les dire, de chaque geste agressif retenu. On peut se féliciter de chaque occasion de réagir avec accès que l’on a laissé passer.
Certains jours, être parent ce n’est pas éduquer, et être aidant·e c’est n’est pas aider. Certains jours, c’est déjà ne pas ruiner tout ce qu’on a déjà construit. Et ça mérite des félicitations chaleureuses.