Comme je le disais dans le premier article de cette série, les êtres vivants ont tous des besoins physiologiques. Les percevoir et les comprendre permet de savoir dans quels domaines il faudra investir du temps et de l’énergie. L’objectif est de se sentir à la fois suffisamment en sécurité et suffisamment libre.
Quand on est parent, on devient responsable des besoins de quelqu’un de dépendant de nous, en tout cas de ceux pour lesquels l’enfant n’a pas encore d’autonomie. On reste également en charge des siens. Il y a donc, dans la vie des parents, de nombreux moments où on peut être en difficulté.
Il y a 2 bonnes nouvelles là-dedans. La première, c’est que même très petits, les bébés ont des compétences. Ils sont armés pour survivre, avec de l’aide. La seconde, c’est que plus ils grandissent, plus les enfants gagnent en autonomie. Leurs parents bénéficient alors d’une marge de manœuvre de plus en plus grande.
Les conflits de type « Bébé veut manger, les parents veulent dormir » ou « Je veux me réaliser en tant que personne et je veux être présent·e pour mon·es enfant·s », ce sont des challenges qui se présentent à tous les parents. Chaque famille trouve ses propres réponses et ça fonctionne vraiment la plupart du temps.
Pourtant, parfois, même avec la meilleure volonté du monde, ça coince. Quand on a le nez dans les problèmes, il peut être difficile de trouver des solutions vraiment adaptées et sur mesure. C’est pourquoi, je vous propose de vous recevoir à mon cabinet, à Annecy, pour un accompagnement en fonction de vos besoins.