Ça peut paraître simpliste, mais c’est réellement fondamental.
Offrir la parole à sa petite voix, c’est tout simplement marquer un temps d’arrêt avant une action habituelle, ou un choix, et chercher à l’intérieur de soi si ça fait « oui ». Pour savoir si c’est votre petite voix qui se manifeste, vous pouvez par exemple guetter le joyeux, ce petit rien qui fait pétiller le regard. Le grand soupir, le soupir de détente est une autre expression de cette voix. Un autre aperçu serait cette sensation de sortir du brouillard.
Ces exemples sont les témoins d’un mouvement intérieur qu’on peut résumer en parlant d’un « oui physiologique », c’est-à-dire un « oui » qui vous convient vraiment à ce moment précis.